février 2021
Calendrier des célébrations
Février 2021
Pour le moment, et sauf avis contraire, les messes anticipées du dimanche sont célébrées le samedi à 16h30.
Lundi 1er février : 17h messe à l’église de Cassagnes
Mercredi 3 février : 9h messe à l’église de Pomarède
Jeudi 4 février : 11 messe à la maison de retraite Les Balcons du Lot
Vendredi 5 février : Pas de messe ce jour-là, je suis au conseil avec les doyens à Cahors.
Cinquième dimanche du temps ordinaire
Samedi 6 février : 16h30 messe à l’église de Puy l’Evêque
Dimanche 7 février : 9h30 messe à l’église de Luzech
11h messe à l’église de Prayssac (messe à la mémoire des défunts du mois écoulé)
Lundi 8 février : 17h messe à l’église de Soturac
Mercredi 10 février : 9h messe à l’église de Cazes
Jeudi 11 février : 16h messe à l’EHPAD de Luzech
Vendredi 12 février : 10h30 messe à l’église de Prayssac précédée d’une heure d’adoration
Sixième dimanche du temps ordinaire
Samedi 13 février : 16h30 messe à l’église de Luzech
Dimanche 14 février : 9h30 messe à l’église de Puy l’Evêque
11h messe à l’église de Prayssac
Lundi 15 février : 17h messe à l’église de Cournou
Mercredi 17 février : 18h30 célébration des Cendres à Prayssac (horaire susceptible d’être modifié)
Jeudi 18 février : 15h messe à la maison de retraite Les Lavandes
Vendredi 19 février : 10h30 messe à l’église de Prayssac précédée d’une heure d’adoration.
premier dimanche de carÊme
Samedi 20 février : 16h30 messe à l’église de Puy l’Evêque
Dimanche 21 février : 9h30 messe à l’église de Luzech
11h messe à l’église de Prayssac
Il n’y aura pas de messe célébrée sur la paroisse dans la semaine du 22 février au 26 février inclus,
je serais en famille.
DEUXIEME DIMANCHE DE CARÊME
Samedi 27 février : 16h30 messe à l’église de Luzech
Dimanche 28 février : 9h30 messe à l’église de Puy l’Evêque
11h messe à l’église de Prayssac
Le secrétariat sera fermé du 1er février au 8 février inclus pour congé.
Chaque jeudi à 16 h, prière du chapelet dans l’église de Luzech, vous êtes les bienvenus.
Patience !
Si j’ai bien tout compris, la seule manière que nous ayons de nous libérer suffisamment rapidement de la pandémie qui frappe le monde, en épargnant le plus grand nombre de vies possible, est de disposer d’un vaccin efficace est sûr.
Cela tombe bien, plusieurs laboratoires ont, semble t’il, réussi à élaborer le précieux sérum, et quelques autres seraient sur le point de le faire.
Tout pourrait donc aller vers le mieux, s’il ne restait l’épineuse question du délai nécessaire à la mise en œuvre de ce beau programme.
Nous sommes sept milliards d’humains sur notre terre, et même les plus avancées des toutes les technologies ne permettront pas de vacciner tout le monde en l’espace d’une semaine.
Alors que faire ? Par qui commencer ?
Les plus fragiles, ceux que la maladie menacent davantage ? Cela semble être un juste raisonnement, mais leur nombre est encore très important, trop important.
Alors quel autre critère mettre en place ? A cet instant les voix sont plus timides, car les solutions miracles, type baguette magique, n’existent pas beaucoup dans le monde réel.
Cependant, et même s’il ne s’est pas clairement exprimé, un autre élément tend à se mettre en place et il tient dans ce critère habituel, désespérément banal, de la richesse.
Seront vaccinés les premiers, ceux qui ont les arguments financiers de leurs ambitions et les autres attendront, il en est ainsi souvent dans le monde des hommes.
J’ai noté, avec un certain soulagement, que plusieurs grandes voix se sont élevées contre cette manière de faire, et au moins pour cette fois, pas seulement celle du pape François.
N’est il pas possible d’attendre ? De patienter, même si nous nous ressentons un peu usés par tant de restrictions, d’incertitudes, et de crainte pour notre santé.
Dans l’évangile me direz vous, il arrive à Jésus de faire montre d’une certaine impatience.
Les gens citent souvent l’épisode connu des marchands du temple dans le texte de Jean (2, 13-25) mais je retiendrai plutôt ici la parabole du figuier stérile dans celui de Luc (13, 6-9).
A quoi bon laisser un arbre épuiser le sol s’il ne se décide pas à porter du fruit ?
Et ce jour-là, Jésus l’aurait aussitôt fait coupé s’il ne s’était trouvé avec lui un cultivateur patient, et déterminé à laissé sa chance à l’arbre, jusqu’au bout.
L’impatience de Jésus sollicite toujours notre détermination à servir la vie, à faire oeuvre de partage, et d’oubli de nous même, par amour de nos frères et de nos sœurs. Quelque chose en fait d’assez éloigné du « moi d’abord », que la crise sanitaire réveille, et qui stérilise notre vie.
Mathias